De helling van de oude wijven (Le coteau des vieilles femmes)
Un projet a cappella inspiré de l'univers vocal de Juan Rulfo
«Des sons. Des voix. Rumeur. Au loin, des lieder : ma fille m’a donné un mouchoir aux ourlets de larmes… Voix de fausset. Comme si c’était des femmes qui chantaient. Rire.»
«Au milieu d’une place du village. Le carillonnement commence par la grande cloche. Suivent ensuite les autres. Le carillonnement dure plus longtemps que d’habitude. L’église avoisinante s’écroule, d’autres églises suivent. Cela donne lieu à un grand retentissement de deuil. Une cacophonie de cloches. Les gens devaient crier pour se faire entendre. Certaines cloches se fendaient et produisaient un son éraillé. Personne ne savait d’où ils venaient, mais soudain, il y avait des artistes circassiens.»
Extraits de Pedro Páramo de Juan Rulfo (traduction libre)
Lire plus Lire moins
