Des biscoteaux et une grosse tête sont les atouts majeurs du lutteur Montagne Éternelle. Mais Malala, Razanna et la vieille Anna lui apprennent que la véritable force n’est pas seulement une question de muscles et de force physique, mais de la résilience, du calme, du silence et de l’imagination.
Lire plus Lire moinsAprès la création de Princesse Turandot(2013) et de Fidelio (2015-2016), Judith Vindevogel s’inspire cette fois d’un conte japonais ancestral qui brise les clichés de genre avec espièglerie.
Dédié à Anna Politkovskaïa (1958-2006), Razan al-Najjar (1997-2018), Malala Yousafzai (1997).
Durée de la représentation: env. 45 minutes
Découvrez nos projet socio-artistique, que nous avons créés lors le lockdown en 2020:
>> La rêve de Montagne Éternelle – un film mini d’animation
mise en scène & texte | Judith Vindevogel |
voix version NL | Judith Vindevogel (l'automne 2020) / Katelijne Verbeke (printemps 2021) |
voix version FR | Marie-Rose Meysman |
composition, percussion & koto | Tsubasa Hori |
illustrations | Sarah Yu Zeebroek |
dramaturgy | Kleo Van Ostade |
scénographie & conception des lumières | Stef Depover |
conception de costumes | Lies Van Assche |
réalisation des costumes | Ryoko Sato, Bea Crevecoeur, Manuela Lauwers & Else Bogaerts |
production | WALPURGIS |
avec le soutien de | ccBe & De Munt |
remerciements à | Paula Stulemeijer & Fumiyo Ikeda |
Judith Vindevogel
Judith Vindevogel (l'automne 2020) / Katelijne Verbeke (printemps 2021)
Marie-Rose Meysman
Tsubasa Hori
Sarah Yu Zeebroek
Kleo Van Ostade
Stef Depover
Lies Van Assche
Ryoko Sato, Bea Crevecoeur, Manuela Lauwers & Else Bogaerts
WALPURGIS
ccBe & De Munt
Paula Stulemeijer & Fumiyo Ikeda
Entretiens
« Être fort signifie bien plus que rouler des mécaniques. » De Munt, oktober 2019
Les premiers réactions du public
« On prétend souvent qu’il faut sans cesse stimuler les enfants, mais que se passe-t-il quand un spectacle ose mettre l’accent sur quelque chose de petit, de sobre, d’intime ? Comment la bouche d’un enfant s’ouvre-t-elle face à quelque de chose de simple en apparence comme quelqu’un qui tient une canne de bambou en équilibre sur sa tête ? Que se passe-t-il quand on apprend que la force, c’est bien plus qu’avoir des muscles, qu’il existe aussi quelque chose comme la résilience et que la force d’un esprit tranquille et d’une âme paisible est à la base de tout ? […] J’ai beaucoup apprécié le spectacle, et les enfants dans la salle aussi de toute évidence. Ils sont rentrés chez eux en chantant. Un enfant de six ans a même spontanément commencé à parler de la “force centrifuge”. Il est très clair que ce spectacle a semé de petites graines. » Astrid Stockman, soprano Stokman & Vos
« Un beau spectacle qui crée une atmosphère appropriée pour tout un chacun à partir de 6 ans […] et qui se compose de multiples “strates” pour un public jeune et moins jeune. On peut y réfléchir encore longtemps après. L’histoire comporte une signification symbolique qui s’adresse aussi au public contemporain, aux jeunes filles d’aujourd’hui, aux hommes et aux femmes d’un monde dans lequel la violence sauvage, l’égocentrisme veulent s’imposer et où l’image est si importante. J’imagine d’emblée aussi un livre accompagné d’un CD. » Sonja De Brouwer, grand théâtre de Bruges
« Un spectacle d’une grande force. Cela fait vraiment du bien de voir une différente tradition de contes (japonaise, orientale) sur scène, qui plus est dans une mise en scène rafraîchissante. » Tom Schiepers, programmation centre culturel de Lint
« Un spectacle délicieux. » Ann Goossenaerts, programmatrice centre culturel de Sint-Niklaas
« C’était fantastique ! » Kim Jansen
« Un spectacle très fort, intrigant et envoûtant. » Anke Jochems, comédienne
« Un spectacle symbolique, puissant ! Ma petite-fille était aussi impressionnée par la “belle narration” ; à l’issue du spectacle, elle a encore pris des photos réussies des accessoires. » Ingrid Dillen
« […] Les enfants ont l’air de bien suivre l’histoire, de temps à autre, il y a de l’espace pour un moment de rire et de détente afin qu’ils puissent bien se reconcentrer après. C’est aussi une très bonne idée qu’ils puissent emporter les dessins et poser des tas de questions après la fin du spectacle. » Leen Haentjens, programmation centre culturel de Brasschaat