Il connaît le feu encore et encore un œil vers le ciel un œil vers la terre jaloux du bruant des roseaux du coucou du freux sur sa branche au-dessus du monde
Le phénix est-il un animal ? Un animal peut-il parler ? Si le phénix n’est pas un animal, peut-il être un oiseau ? Peut-on le désigner par un nom masculin ? Le phénix a-t-il un genre ? A-t-il des sensations de plaisir ? Que signifie la sexualité pour lui ? Se sent-il seul ? Voici quelques questions que j’aimerais voir aborder. Je dis aborder, pas répondre. Mes ambitions ne dépassent pas mon potentiel d’imagination. Des objectifs sont là pour être atteints. Les limites sont là pour être transgressées. Cependant, quasi personne ne remarque les limites qui se situent au-delà de l’objectif. Et c’est exactement de cela qu’il est question ici. Car quel est l’objectif ? L’éternité, l’éternité quotidienne. Se contenter de moins serait céder à l’indolence, à la facilité. La facilité, c’est pour après l’éternité.